Ah ! Ce mot : argent. Celui que l’on appelle de tant de façons. Les pépettes, le flouze, le fric, les thunes, les talbins, les biffetons, les sous, et j’en passe. Depuis toujours, que vous en ayez ou pas, l’argent est un problème. « En ais-je trop? Ais-je peur de manquer? ». « J’en manque et je peux craindre de ne pas joindre les deux bouts ».
Dans tous les cas l’argent est objet de pouvoir. De reconnaissance. D’affirmation de soi. Et aussi de puissance. Enfin, de réussite dans une société à propos de laquelle un publicitaire connu disait il y a quelques temps: « Si à 50 ans, t’as pas une Rolex, t’as raté ta vie !« . Or, une Rolex, c’est 4 à 5.000,00 € minimum, et tout le monde n’en n’a pas les moyens, loin s’en faut. Il semble d’ailleurs que certains qui aient possédé beaucoup d’argent à cet âge aient été contraints de les revendre pour cause de disette.
D’autres qui ont cet argent craignent d’être forcés à s’en acheter une pour qu’il ne soit pas dit d’eux qu’ils ont raté leur vie. Cruel dilemme, cruelles angoisses. De l’argent, en avoir ou pas ?
En quoi l’argent est-il un facteur d’angoisse ?
Que vous le vouliez ou pas, vous, nous vivons dans une société dite de consommation. Comme vous le savez, il existe un moyen d’échanges entre un service rendu ou un bien acquis : c’est l’argent.
L’argent est le nom donné à un métal et à un papier précieux dont la valeur évolue suivant des critères qui échappent la plupart du temps aux néophytes dont je suis.
Entre les flux d’argent, les échanges commerciaux, le cours des devises augmentés de tout un tas d’autres critères, vous pouvez « gagner » 1.500,00 € en France et être considéré comme un travailleur pauvre. A titre d’exemple, je pense aux enseignants.
Vous êtes la même personne qui gagne la même somme mais est le roi ou la reine dans un pays où le change lui est favorable. Ainsi, de plus en plus de retraités, pour vivre de façon digne, quittent la France pour vivre au Maroc, en Tunisie, au Portugal. L’argent, une source de maux.
Dans ces deux cas, au regard de vos frais fixes, vous pouvez craindre de manquer d’argent. Dès lors, de ne pouvoir honorer vos factures. Qu’il s’agisse de votre loyer, de vos mensualités diverses, si vous manquez à vos engagements, gare à vous ! La société vous rappelle à vos obligations avec une violence inouïe ! Vous devez de l’argent, vous êtes coupable !
L’argent, comme l’immobilier ou l’automobile, les bijoux, le mobilier, les vêtements que vous portez, tous ces éléments sont autant de codes qui donnent de vous aux autres une certaine image. Identifié(e) comme en ayant ou pas vous êtes classé(e), rangé(e) dans une case sociale plutôt qu’une autre.
Contrôler produit la peur du manque d’argent
Ne vous leurrez pas. Vous n’émargez pas dans cette même case tout au long de votre vie.
Du jour au lendemain, il se peut que vous n’apparteniez plus à la case initiale. Les éléments du système bougent continuellement. J’en veux pour preuve la crise de 1929 aux États-Unis, ou celle que vous et moi, comme des milliards d’êtres humains sur cette terre, subissons depuis le 15 septembre 2008. Depuis lors, les riches sont toujours plus riches, et les pauvres encore plus pauvres.
A compter de ces deux dates, des milliers de gens, pour ne pas écrire des milliards de personnes, se sont trouvées plongées dans l’angoisse. Qui de n’avoir plus d’argent, qui de craindre pour son travail, pour sa famille, ses frais de santé, sa maison achetée à crédit.
L’argent est une source d’angoisses dans une société toujours plus chère.
Si vous vous y trouvez sans argent, vous n’êtes rien. Vous n’êtes personne. Ignoré(e), malmené(e), critiqué(e), voire exclu(e) comme Indigne d’être dans le système.
Tel un paria, vous quêtez ou quémandez même, au sens de certains, une ou des aides que vous avez toutes les raison de craindre que l’on vous refuse. Vous avez un vital besoin d’argent pour vivre.
Et moi qui croyais qu’il fallait manger pour vivre et non vivre pour manger.
L’argent et la Loi de Pareto
Sans argent, vous n’êtes plus reconnu comme un être humain. Vous êtes dépossédé(e) de toute valeur intrinsèque. Sans argent vous n’alimentez plus le système qui se nourrit de vous, de nous.
L’idée même de la perte, de la perte de soi, de la perte d’identité, de la perte de sens, fait de vous des victimes d’un système qui s’autodétruit de ses propres excès (cf. Karl Marx). Système dans lequel la pauvreté semble être organisée en un moyen rentable d’enrichir les riches plus encore. N’est-ce pas Monsieur Macron ?
Dans le respect de la Loi de Pareto, 80 % des personnes alimentent en richesses diverses 20 % d’une population la plus riche. Laquelle s’enrichit de ces 80 %. 20 % de la population gagne beaucoup d’argent grâce au 80 % restants.
Le dilemme est que ces 80 %, du moins sa grande majorité, s’activent à perdre leur vie à la gagner tout en espérant intégrer les 20 autres pour cent.
Comme dans toute chose, comme à propos de l’argent, il y a beaucoup d’appelés, et peu d’élus. La bataille, pour ne pas écrire la guerre, est rude, et elle fait des ravages considérables.
Chacun, pour se protéger de sa peur du manque, donc de ses angoisses, use et abuse de subterfuges toujours plus inventifs pour contourner le problème. Celui de l’angoisse du manque d’argent, celui de la frustration.
En agissant de la sorte, sans que cela n’enlève rien à l’honnêteté de la plupart des gens, il naît un paradoxe qui veut qu’une société plus honnête veuille se créer sur un lit dont les draps, immanquablement, sont sales et l’ont toujours été.
L’argent nourrit un paradoxe effarant
Depuis plus de 20 ans que je pratique la thérapie comportementale, j’ai rencontré autant de gens riches, voire très riches. Comme ivres d’argent pour certains. Et aussi des gens pauvres, voire très pauvres.
Tous, de façon parfois très étonnante, sont sujets au même problème. La peur du manque. L’angoisse de ne pas avoir d’argent.
A ce sujet, je me souviens d’un monsieur qui travaille dans la finance. Il occupait des fonctions d’encadrement un très haut niveau. Je pense qu’il gérait des milliards. Mais il est arrivé à un niveau d’angoisses telles qu’elles se sont muées en anxiété généralisée.
Il gagnait très très bien sa vie. Le handicap généré par son stress lui fit craindre de non seulement faire perdre de l’argent à ses clients, mais aussi que ses propres revenus en soient affectés.
Comme la plupart des gens en pareille situation, il essaye de contrôler son problème. Il avait de plus en plus de mal à se rendre au « Desk », son bureau, devant ses écrans et son téléphone multi-lignes.
Une fois sur place, les écrans scintillent devant lui. Cela lui procurait des symptômes de peurs de plus en plus forts, de plus en plus régulièrement. Il souffrait tellement, qu’il a fini par rentrer chez lui.
Il a honte de ne pas dépasser son problème, a peur du jugement des autres, peur de perdre ses avantages financiers liés à sa fonction. Donc, peur de perdre SON argent. Il se sent coupable de mettre sa famille en danger.
L’angoisse de perdre de l’argent
Dans la même veine, une jeune enseignante vient me consulter.
Dépressive et angoissée, dans le cadre de l’exercice de ses fonctions, elle est menacée de mort par une mère plus jeune qu’elle.
Elle enseigne dans une zone dite défavorisée. Mise en arrêt de maladie, elle envisage de reprendre ses activités mais angoisse à cette idée. Elle souffre d’angoisse nocturne comme d’angoisse matinale, et sa famille, tous enseignants, font pression sur elle pour qu’elle reprenne.
Cette jeune femme est terrorisée à l’idée de reprendre. Elle est aussi terrorisée à l’idée de ses pertes de salaire liés à la succession de ses arrêts de maladie. Elle aussi a peur de perdre de l’argent. SON argent.
L’Éducation Nationale la soutient autant que la Loi le permet. Au delà, c’est la Sécurité Sociale qui se fait tirer l’oreille.
Cette jeune femme prend contact avec l’inspecteur d’académie lequel lui raconte la messe. Il essaie de la circonvenir pour qu’elle reprenne normalement ses fonctions. Courageuse, elle se rend devant la grille e l’école où elle enseigne. Elle fond en larmes. Angoissée à l’idée de reprendre, anxieuse à l’évocation de la perte financière liée à son arrêt maladie.
A la faveur d’une consultation, cette jeune femme et moi envisageons une autre activité professionnelle. Je lui demande si l’argent est pour elle un problème. Elle me répond qu’au regard de son diplôme, elle a toujours agi de sorte à enseigner. Pas autre chose.
Elle n’envisage pas de changer, par exemple, pour exercer un métier de journaliste. Oui, elle aurait perçu plus d’argent mais le contexte ne lui convient pas. Elle veux juste enseigner et ne pas perdre d’argent. Elle ne peut satisfaire ni l’un ni l’autre.
Notre ami financier a le même problème. Il perd le contrôle au point d’être hospitalisé puis il revient me consulter.
Finalement, il change d’employeur et occupe d’autres fonctions. Il résout ainsi son problème d’argent. Partant, il met de côté sa culpabilité liée autant à ses relations clients qu’à propos de sa famille.
L’un comme l’autre enrichissent leur problème. Ils évoluent dans une sorte de double contrainte. Avoir de l’argent, oui. Mais à des conditions épouvantables émotionnellement parlant. Ne pas avoir d’argent, oui, mais avec des conséquences épouvantables.
Il a fallu beaucoup de réflexions, et de mesures stratégiques, pour résoudre un problème d’angoisse lié au manque d’argent. Lequel problème repose sur une peur de ne pas avoir suffisamment d’argent. Ce paradoxe infernal mène ces deux personnes à des états de souffrance paradoxaux et inattendus.
Cela leur fait comprendre que leur positionnement social et professionnel n’est pas le bon. Qu’ainsi, l’un comme l’autre se font du mal.
Traiter la peur du manque d’argent
Ré investir leur relation à l’argent leur a permis de se ré investir eux mêmes, de se positionner de façon différente dans le respect d’eux mêmes.
Seules leurs peurs respectives leur font résister à ce changement lequel, pourtant, s’est avéré être le meilleur investissement en matière d’équilibre émotionnel, d’image de soi, et de confiance en soi. Pour être bref, de développement personnel.
Ils ont mis un terme à un conflit intra psychique terrible. Cette fameuse double contrainte qui se résume de la façon suivante : Si je fais quelque chose çà ne va pas. Si je ne fais rien, çà ne va pas non plus.
A votre tour maintenant.
Vous seul(e) pouvez prendre la décision d’agir de façon novatrice ou rester campé(e) sur des positions qui ne tiendront plus dans quelques temps.
J’allais oublié une petite précision… importante :
La plupart d’entre nous se plaignent, à des degrés divers, de douleurs physiques et il n’est pas rare que nous ne fassions pas la relation entre ces douleurs physiques et des troubles émotionnels. Je parle là de douleurs psychosomatiques, de ces douleurs physiques qui sont l’expression d’une douleur psychique.
Ces douleurs physiques vont des lombalgies aux allergies, en passant par des tensions musculaires, la migraine, des douleurs aux intestins ou à l’estomac, et j’en passe.
En effet, notre corps exprime ses joies et ses problèmes de différentes façons et nous ne prenons pas toujours la mesure des informations que notre corps nous donne. Ce que nous appelons des douleurs somatiques est pourtant notre quotidien. Ces états traduisent un trouble anxieux au sens d’une tension nerveuse plus ou moins constante et importante de la même façon qu’un changement de comportement suite à un décès.
Il est donc vital de comprendre comment traiter des douleurs physiques symptômes d’anxiété.
Ainsi, quand il m’arrive de « tomber » sur des difficultés de certaines natures, j’ai remarqué que j’avais mal aux jambes. Comme si j’étais empêché d’avancer. Comme si je craignais de perdre la maitrise, de perdre le contrôle. Or, je sais pourquoi j’ai ce type de douleurs physiques. Dès lors, les rares fois où je ressens ces douleurs physiques, je sais ce qu’il convient de faire pour lâcher prise.
J’accepte ces douleurs physiques, une migraine par exemple, car c’est l’expression d’émotions avec lesquelles je suis en conflit. Que je refuse ou repousse l’émotion parce-que je veux conserver le contrôle. Je dénie une réalité qui me pose problème et rajoute à mes tourments.
Un lien de causalité
Dès lors, il existe bel et bien un lien entre les douleurs physiques et l’état émotionnel. Par exemple, c’est le cas de la fibromyalgie dont je vous parlerais dans un prochain article (et ceci même si cette pathologie nécessite une prise en charge pluri-disciplinaire).
Certaines réactions de notre corps sont clairement, et directement, liées au mal-être intérieur associé à la peur de mourir, lesquelles sont d’autant plus pénibles qu’elles peuvent être alimentées par des angoisses quant à la peur de souffrir ou encore à des angoisses existentielles.
Alors, pour y voir plus clair, je vous invite à prendre connaissance de 8 douleurs physiques assez répandues fruits de nos émotions. Au terme de cet article, je vous explique comment mettre un terme définitif à ces douleurs physiques rapidement.
Voici 8 douleurs qui sont liées à votre état émotionnel.
#1 – La migraine
Les maux de tête ou les migraines sont le résultat d’un stress ou d’une tension. C’est la réaction de votre corps à une situation difficile qui vous demande de changer votre manière d’être habituelle. C’est une douleur ressentie également quand vous essayez de mobiliser toute votre énergie mentale afin d’accomplir une tâche ou de surmonter une situation qui vous cause des ennuis.
Quand vous faites de grands efforts pour comprendre les situations ou les événements qui vous entourent. Ou quand vous essayez de réfléchir trop vite pour trouver des solutions, de fortes pressions sont exercées au sein de votre cerveau. Cela entraîne les maux que vous ressentez.
Le côté de votre tête qui vous fait le plus mal est souvent révélateur du type de problème que vous avez:
Au niveau du front – Il s’agit de problèmes liés au travail ou à l’environnement social
Sur les côtés, près des tempes – Il s’agit de problèmes émotionnels
C’est un mal que vous ressentez dans votre corps lorsque vous êtes en conflit avec une personne à laquelle vous n’arrivez pas à pardonner une chose ou une autre.
#2 – Les tensions musculaires
Elles proviennent d’un manque de flexibilité dans vos expériences au travail, dans votre maison, ou dans votre attitude envers vous-même. C’est le signe qu’il y a un élément stressant dans votre environnement, et que vous refusez de l’accepter ou de le tolérer.
#3 – Le mal de ventre
Il n’est pas toujours le résultat d’un problème au niveau de votre alimentation. Il peut être également lié à quelque chose de négatif que vous n’arrivez pas à digérer ou d’une impression qu’on vous manque de respect. Les tournures d’estomac sont également fréquentes dans les crises d’angoisse ou d’attaque panique.
#4 – Tensions dans le haut du dos
Elles sont fréquentes chez les personnes qui se sentent seules ou qui manquent de soutien affectif. Les personnes célibataires en souffrent souvent et les marié(e)s qui se sentent seul(e)s dans leur foyer en souffrent également.
#5 – La lombalgie
La lombalgie est généralement le résultat d’une longue période d’inquiétude à propos de l’argent. Cela peut être dû au fait que votre salaire ne suffit plus pour couvrir vos besoins ou que vous n’avez pas la sagesse nécessaire pour équilibrer vos entrées d’argent et vos dépenses.
Un symptôme d’anxiété
La lombalgie est la forme de mal au dos la plus fréquente. Selon une étude publiée dans la revue « British Medical Journal » (BMJ), la lombalgie frappe près de 10% de la population mondiale. Selon l’INRS, en France, la lombalgie touche plus de 2 salariés sur 3. C’est donc un problème de santé qui mérite une attention particulière. Ci-après, je vous invite à découvrir:
La définition de la lombalgie ;
Les différentes formes de la lombalgie ;
Les facteurs aggravants de la lombalgie ;
Les traitements disponibles pour ne plus avoir mal au dos.
Définition de la lombalgie
Selon le dictionnaire Larousse, une lombalgie est, je cite: « Une douleur de la région lombaire« . Le langage médical est beaucoup plus précis en définissant cette maladie comme « Des douleurs ayant pour axe les cinq vertèbres lombaires« .
La région des vertèbres lombaires est l’une des zones les plus sollicitées du corps humain. Elle supporte une partie importante du corps. Elle est donc en proie à des douleurs plus ou moins importantes. Le risque de lombalgie, ou de mal de dos, apparaît à tous les âges. Cependant, le risque est plus important pendant la période de l’adolescence, et autour de la quarantaine.
Les différentes formes de lombalgie
Les formes de lombalgie varient suivant deux principaux critères:
Source.
Durée des douleurs.
Selon la source, on distingue les types de lombalgies suivantes.
Lombalgie mécanique
Ce type de lombalgie généralement due à la dégénérescence d’un ou plusieurs disques intervertébraux, à un traumatisme ou à une série de traumatismes. Les personnes du troisième âge sont les plus touchées par ce type de lombalgie. Cela est dû à la perte de souplesse de leurs disques intervertébraux qui se fissurent avec le temps. Les douleurs sont vives en journée. Elles s’accentuent avec les efforts physiques comme le port de charges et la position assise prolongée
Lombalgie inflammatoires
Elle est souvent liée à une maladie inflammatoire vertébrale. Chez une personne jeune, il s’agit souvent de rhumatismes. Chez les personnes âgées, il s’agit plutôt d’une tumeur bénigne. Les douleurs sont vives durant la nuit, et très gênantes au réveil.
Lombalgie d’origine viscérale
C’est la conséquence d’une affection touchant l’appareil urinaire ou génital, le rein, etc. Selon la durée, on distingue:
#6 – Le lumbago
Ces douleurs lombaires durent environ 4 semaines. Elles provoquent un inconfort total. Elles peuvent freiner les activités quotidiennes de la personne en souffrance. Voire justifier un arrêt de travail. Les lumbagos disparaissent généralement d’eux-mêmes.
La lombalgie chronique
Les douleurs sont constantes. Durent plus de 3 mois. Elles impliquent des modifications importantes dans le quotidien de la personne qui en est affectée. Dans ce type de cas, les causes sont souvent difficiles à détecter Le mal de dos n’a pas que des origines physiques. Si vous ressentez des douleurs chroniques, il est fort probable qu’il y ait également une origine psychologique.
Lombalgie et stress
L’organisme d’une personne stressée est victime de toutes sortes d’agressions. Et l’un des symptômes de ces diverses agressions peut s’exprimer par de fortes douleurs physiques dont ces douleurs dans le dos.
À chaque fois que vous êtes confronté(e) à une situation stressante, votre corps réagit en crispant vos muscles. Au fur et à mesure, ces tensions musculaires deviennent très douloureuses. Les muscles du dos et du cou sont les zones les plus touchées. En situation de stress prolongé, elles sont en proie à de fortes tensions.
Plusieurs études affirment également que les facteurs psychologiques comme l’insatisfaction professionnelle, la colère, ou l’anxiété favorisent et accentuent l’apparition du mal de dos. Les personnes exerçant des métiers sédentaires sont plus exposées à la lombalgie que ceux qui exercent dans les autres corps de métier. Indépendamment de ce facteur de risque, il est démontré que le stress reste un facteur aggravant dans l’apparition des douleurs dorsales.
Quel que soit le métier que vous exercez, et votre mode de vie, il est important de mettre en place des stratégies pour gérer votre stress. Dans le cas contraire, vous êtes susceptible de souffrir d’importantes douleurs lombalgiques. Par la suite, ces douleurs deviennent une source de stress. Elles font qu’augmenter le niveau de stress initial. Il est donc vital de trouver une solution rapidement.
A titre d’exemple, vous pouvez sortir de chez vous et aller marcher. Vous pouvez aussi essayer de vous détendre en écoutant de la musique. A plus forte raison lorsque vous êtes exposé(e) à des niveaux de stress moyens. Mais, dans les cas les plus graves, vous devez absolument apprendre à gérer ses émotions. Et pour ça, vous devez faire recours à un suivi comportemental.
Traitement de la lombalgie
L’approche comportementale est une thérapie dite brève. Son efficacité est formellement démontrée par plusieurs études scientifiques. Elle est l’ultime solution pour une gestion efficace de votre stress au quotidien.
Grâce à l’utilisation d’un programme comportemental comme celui que j’ai conçu (Le Programme ARtUS), dès le 1er Module, vous complétez un questionnaire. Cela favorise une vision plus claire de vos schémas de pensées et de comportements.
Le but est d’identifier la source du stress. Celui-là même qui cause ou aggrave votre problème de lombalgie. L’objectif n’est pas de passer en revue toute votre vie. Plutôt d’identifier avec précision les causes de votre mal-être actuel.
Une fois les exercices de contextualisation terminés, vous accédez au Module 2 du programme. Celui-ci vous permet de traiter le stress dont vous êtes victime. Ainsi que tous les symptômes qui y sont associés. Petit à petit, grâce à ces exercices comportementaux spécifiques, vous sentez vos symptômes diminuer. Cette baisse est de 40 à 60% en moins d’un mois. Ces symptômes disparaissent en 2 mois maximum. Dans l’intervalle, rien ne vous empêche de consulter un(e) ostéopathe (par exemple).
Solution à la lombalgie associée au stress
L’objectif d’un coaching comportementale est de corriger les schémas de pensées automatiques qui sont à la base de vos tensions. Par exemple, vous n’êtes plus affolé(e) lorsque vous êtes sous pression au bureau. Vous savez vraiment vous détendre au moment des pauses. Et ce faisant, lâcher prise. De tels bénéfices vous sont garantis par la mise en place d’exercices comportementaux et stratégiques qui donnent d’excellents résultats. Souvenez vous. Nous sommes dans le « comment faire » pas dans le « pourquoi ».
Issu de la stratégie comportementale, ce type d’exercice impacte durablement les modes de fonctionnement de votre cerveau. Ainsi que sa gestion de l’information liée aux stress perçus. Dès lors, vous êtes plus objectif. Ce qui favorise une détente émotionnelle prolongée. En plus de vous éviter la résurgence de votre problème de lombalgie.
Aspirer au bien-être
Le deuxième objectif de cette méthode comportementale tient en la modification de vos comportements. Le stress conduisant à votre mal de dos est sûrement associé à un ensemble de comportements quotidiens. Ceux que vous avez acquis au cours de vos expériences passées. Ou du fait d’interprétations émotionnelles erronées parce-que réactives (tentatives de contrôle infructueux qui enrichit votre problème).
Le Programme ARtUS facilite l’identification de ce type comportements inappropriés. Il vise à leur remplacement par des comportements plus conformes à votre besoin. A votre réalité. Ceci afin de tendre et demeurer vers le bien-être, et le bien faire. Un tel changement influe votre lombalgie de façon positive inéluctable. Comme si votre dos… disparait!
Autres douleurs physiques
Bien sûr, il existe tout un tas d’autres douleurs physiques. J’en présente quelques-unes ci-après.
#7 – Tension dans les coudes
Elles sont le résultat d’une résistance face aux changements de la vie. Vous avez du mal à vous adapter à de nouvelles situations qui s’imposent à vous. La raideur dans vos bras peut signifier que vous êtes trop caduque dans votre rapport avec les choses et avec les gens.
Les douleurs dans les hanches ont également la même source émotionnelle. Elles montrent également que vous avez du mal à prendre des décisions importantes et à passer à l’action. Cela est peut-être dû à un ensemble de peurs intérieures.
#8 – Les hernies
Elles sont révélatrices d’une détresse, d’une frustration, d’un blocage ou de l’incapacité à réaliser quelque chose ou de quitter une situation dans laquelle on se sent bloqué. Elles prennent quatre principales formes:
La hernie discale : Elle est causée par un excès de responsabilité, la dévalorisation de soi ou un besoin de soutien que l’on n’arrive pas à exprimer.
La hernie hiatale : Elle est matérialisée par le fait de refouler ses émotions au lieu de les exprimer. C’est également le signe qu’une personne veut contrôler chaque aspect de sa vie.
La hernie ombilicale : Elle est motivée par un refus de la réalité ou un besoin de sécurité.
La hernie inguinale : C’est le signe physique des émotions qu’éprouve une personne qui a envie de sortir d’une situation difficile.
Traitement par ostéopathie des douleurs physiques
L’ostéopathie est une méthode de soin essentielle pour le corps et l’esprit. Et, autant le savoir tout de suite, j’aime beaucoup l’ostéopathie.
Depuis la fin de mes problèmes personnels, je recours souvent à l’ostéopathie. A plus forte raison à la suite des divers accidents de moto.
Ceci étant écrit, d’aucuns s’étonnent que je parle d’ostéopathie dans un blog ayant pour vocation de vous apporter de la valeur ajoutée à propos de problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobie, de toc, ou encore de dépression.
Or, il y a effectivement un lien entre cette technique de thérapie corporelle, et le traitement des problèmes cités précédemment. Quand l’émotion est présente, le corps s’exprime. Et ce n’est pas sans conséquences. L’ostéopathie traite ces conséquences. Et c’est un excellent moyen de retrouver l’équilibre corps – esprit.
Mais qu’entend-on par ostéopathie? L’ostéopathie est une branche de la médecine fondée en 1874 par Andrew Taylor Still, un médecin américain. L’ostéopathie a fait son apparition en Europe, à Londres, en 1917, et en France en 1960. Il a tout de même fallu attendre 1990 pour qu’elle soit légalisée en Angleterre, et les années 2000 avant qu’elle le soit en France.
Définition de l’ostéopathie dans le champ des douleurs physiques
L’ostéopathie est une médecine manuelle qui s’intéresse aux troubles fonctionnels du corps humain. Elle repose sur 4 principes.
1 – La structure gouverne la fonction
Cela signifie que toutes les fonctions du corps sont reliées à la structure musculaire et osseuse. La formation de l’ostéopathe repose donc en grande partie sur la connaissance des os. Et aussi des articulations, des organes, des viscères, et des muscles.
2 – L’unité fonctionnelle du corps
Si un seul organe est défaillant dans le corps humain, toute la structure est touchée. L’ostéopathe n’ausculte donc pas seulement la partie douloureuse. Il ausculte l’ensemble du corps. Il fait passer à son patient un examen complet. Lequel consiste essentiellement à faire des palpations sur le corps. Ceci afin identifier les différents dysfonctionnements pour rétablir l’équilibre.
3 – Le rôle des artères est absolu
Une bonne irrigation du corps est la solution contre les problèmes de congestion et de dégénérescence cellulaire.
Ostéopathie et relation au corps
Le corps a la capacité de générer les substances nécessaires pour se soigner lui-même.
L’ostéopathe se sert uniquement de ses mains pour soulager son patient. Pour cela, il effectue quatre types de manipulations:
Les manipulations fonctionnelles
Il s’agit de palper les tissus de sorte à provoquer une détente suffisante pour permettre aux lésions internes de se soigner elles-mêmes.
Les interventions viscérales
Elles ont pour objectif de redonner de la vitalité au foie, à la rate, aux intestins, etc
Les techniques structurelles
Ce sont des pressions exercées sur certaines parties du corps par l’ostéopathe pour libérer les points de blocage.
Les manipulations crâniennes
Elles sont plus délicates et plus fines. Elles permettent d’agir sur les os du crâne afin de lui redonner une souplesse totale. Ces manipulations sont essentiellement effectuées pour les enfants au cours des premiers mois. L’objectif est de corriger les séquelles d’un accouchement compliqué sur la structure du crâne.
Ostéopathie
Les champs d’application de l’ostéopathie
Les soins de l’ostéopathe s’adressent aux enfants. Et aussi aux adultes, aux femmes enceintes, et aux personnes du troisième âge. Ils permettent de soulager les problèmes de santé liés au système:
ORL et respiratoire : Prévention des bronchites, des sinusites, et des otites répétitives. Vertiges fonctionnels. Dysphrénie fonctionnelle. Acouphènes. Céphalées. Migraines.
Uro-génital : Règles douloureuses. Suivi de grossesse. Suivi post-partum. Douleurs au cours des rapports. Règles douloureuses.
Pour les enfants, il s’agit généralement de troubles du sommeil, d’agitation. Et aussi de régurgitations, de coliques ou de plagiocéphalies. Le tout au cours des premières semaines qui suivent la naissance. L’ostéopathe intervient également au cours de la croissance, comme à l’adolescence. Il traite les problèmes de scoliose, de cyphose, de pied bot, de torticolis congénital, etc.
Cette médecine manuelle est également utile pour un suivi postopératoire. Notamment dans les cas de thoracotomie et laparotomie. L’ostéopathie peut être utilisée pour guérir ses différentes maladies. Mais, également, pour les prévenir.
Ostéopathie et coaching comportemental
L’ostéopathie fait l’objet de vives critiques quant à son efficacité et à ses méthodes. Les critiques émises s’appuient sur le fait qu’elle ne prend en compte que l’aspect physique des affections. Et ce alors que chaque affection a également un aspect psychique.
Dans le cadre du traitement des troubles neurovégétatifs comme le stress, l’anxiété et la dépression, l’approche comportementale couplée à une prise en charge de type ostéopathie permet d’obtenir d’excellents résultats. Le coaching comportemental repose sur un certain nombre de techniques d’interventions, dont 5 d’entre elles sont particulièrement efficientes.
Identification des pensées
Ce sont les tous premiers temps du travail thérapeutique. Il vous aide à identifier les schémas de pensées problématiques qui sont à la base de vos troubles psychiques. Partant, de vos problèmes physiques. Cette phase initiale de votre travail thérapeutique s’appelle la contextualisation. C’est une phase extrêmement importante.
Restructuration cognitive
Cette phase thérapeutique consiste à corriger vos schémas de pensées négatifs. Puis, progressivement et naturellement, à les remplacer par des pensées plus adaptées à la réalité. Par exemple, ce n’est pas parce que vous avez un petit problème le matin que toute votre journée est gâchée. La restructuration cognitive est très utile. Elle permet d’avoir des pensées objectives, voire positives, au quotidien.
Des exercices paradoxaux
Le plus souvent, il vous est proposé de vous exposer à ce que vous vivez comme un problème. Je préfère vous le dire, en termes de respect de vous même, c’est une hérésie! Ce serait comme de vous contraindre à vous livrer à des pratiques – qu’elles qu’elles soient – qui vous révulsent.
Il existe un moyen bien plus simple et respectueux qui vous aide à faire preuve d’objectivité. Ceci afin de reprendre confiance en vous. A reconditionner votre autonomie. Vous utilisez une technique mentale dite paradoxale. Cette technique donne des résultats extra ordinaires. C’est d’ailleurs l’un des multiples exercices intégré au Programme ARtUS.
Pour prendre connaissance du dudit programme thérapeutique en ligne, je vous invite à en regarder la vidéo de présentation. Pour ce faire, cliquez sur le lien rouge en bas du présent article.
L’activation comportementale
Ici, il s’agit d’apprendre de nouveaux comportements. Dès lors, vous fixer de nouveaux objectifs plus en rapport avec votre réalité comme votre vision des choses. Par exemple:
Maximiser vos activités plaisantes pour générer plus de plaisir, et donc un bien être physique.
Augmenter la sensation d’accomplissement et de compétence par une implication choisie dans plusieurs domaines qui vous intéressent.
Séquencer vos tâches importantes en mini-tâches pour une plus grande efficacité
Et bien d’autres choses encore qui soient conformes à vos choix comme à vos attentes.
Afin de partager votre expérience relatives aux douleurs physiques comme à leur mode de traitement, ou exprimer votre avis sur cet article, je vous invite à utiliser le formulaire de commentaires ci-dessous.